Les Vendredis Seins

Une femme sur dix est atteinte d’un cancer du sein. Un cancer sur quatre est un cancer du sein.

Même si la Belgique est le pays le plus concerné, cette réalité est mondiale.

Pourquoi les femmes ne commencent-elles pas, sans plus attendre, à se poser des questions sur leurs histoires de vie et de nids, à faire le point sur la relation qui les unit à leurs parents, conjoints et enfants et découvrir ainsi des dysfonctionnements psychologiques porteurs de mal-être possible à venir ?

Pourquoi ne retissent-elles pas l’histoire de leurs seins, de leur rapport à leur corps ou à leur féminité au lieu de devoir le faire forcée par l’atroce réalité de l’ablation mammaire ou de la perte de cheveux ?

Pourquoi les femmes saines ou souffrantes ne s’unissent-elles pas pour traduire les maux des seins en mots ?

Prévenir un cancer du sein peut être bien plus puissant que de prendre des mesures d’hygiène (alimentation, sport,…), de passer des mammotests annuels, de se tenir au courant, de s’émerveiller de l’avancée des traitements ou de l’optimalisation de la prise en charge médico-psycho-sociale d’une femme atteinte d’un cancer du sein.

Aujourd’hui, le corps médical s’accorde sur la nécessité d’une prise en charge globale. Les aspects médicaux, psychologiques et esthétiques sont devenus intimement liés dans le traitement du cancer.

Au cœur des hôpitaux, les psycho-oncologues sont de plus en plus présents. On ne soigne plus un organe atteint d’un cancer mais une personne unique qui, à un moment précis de sa vie, a déclenché la maladie.

A travers les questions que la maladie va susciter chez la patiente, une quête de sens va s’opérer et fréquemment, une recherche de compréhension s’imposera vis-à-vis de son environnement familial, professionnel et social.

Les médecins pratiquant la médecine psychosomatique continuent, quant à eux, l’étude des conséquences du stress ou des stimuli négatifs sur le corps en lien avec l’apparition de la maladie. Même si ce présupposé n’a pas encore été établi, les avancées dans la prise en charge du patient au sein de l’hôpital semblent rejoindre ce qu’ils clament depuis plus de 20 ans et dont le résultat engendre clairement de grands bienfaits pour la patiente.

Il est évident que tous les stress ne déclenchent pas des cancers mais il s’avère être de plus en plus probant que tout cancer est précédé d’un ou de stimuli négatifs spécifiques et que c’est la façon de répondre à certains évènements qui  instaure un terrain favorable à l’apparition de la maladie.

Comme l’ont démontré de grands chercheurs tels que le Dr Laborit, les femmes inhibées dans leurs actions de fuite ou de combat face à certaines situations de vie refoulent ou somatisent leur stress dans la biologie et en deviennent malades.

Même si le sens de la maladie, la traduction des maux du corps en collant à la biologie restent encore trop peu étudiés, il revient à chacun(e) de s’y intéresser sans plus attendre, de devenir acteur/actrice de sa santé et ce au nom de toutes ces femmes qui sont mortes d’un cancer du sein ou ont traversé l’enfer pour parvenir à plus de vie.

Il n’est pas nécessaire d’attendre d’être malade pour se voir obligée d’entamer un parcours de combattant au sein des hôpitaux. Il est possible pour chaque femme de s’offrir une prévention porteuse de vie au sein de son environnement en retraçant le fil rouge de son parcours (généalogie, périnatalité, allaitement, enfance, adolescence, vie sentimental, de couple et de famille), de sa relation au vaste nid qu’est le monde (quelle est sa place réelle et comment l’occuper ?) ainsi qu’en revisitant ses croyances du monde féminin et en honorant, chaque jour, les valeurs féminines si peu mises à l’honneur dans notre société patriarcale et qui surgiront à travers des maladies telles que le cancer.

Oui, il est possible de vivre la patience, la douceur, la tendresse, le repos, le long terme ou encore la capacité  d’honorer son corps, de prendre soin de soi, de partager et de tisser des liens en croquant la vie à pleines dents plutôt que de se retrouver sur un lit d’hôpital.

Oui, il est possible de prévenir la maladie en étant chaque jour plus présente dans le courant de la vie et du respect de soi, de l’autre et du monde.

Et si le cancer du sein constituait le moyen par lequel, inconsciemment, les femmes se permettaient de réhabiliter leur puissance féminine en sacrifiant au passage une partie de ce qui la spécifie ?

Comment pourraient elles devenir pleinement femmes séduisantes et mères nourricières avec ou mieux, sans cancer du sein ?

Voilà ce que nous vous invitons à venir expérimenter à travers une compréhension bio-médical et des exercices de mises en application immédiates qui vous permettront d’entamer le chemin de guérison et de mise au monde de votre puissance féminine pour le bien de l’humanité.

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