Evidences
Éducation à la Santé : un état de Total Bien-Être

L'homéopathie détiendrait-elle un remède "secret" contre la Covid-19 ?

Granules homéopathiques

Par Eduard Van den Bogaert

À l'heure des gestes barrières, du port du masque et des campagnes de vaccination, l'homéopathie n'a pas dit son dernier mot. Depuis des décennies, elle obtient des succès sans précédent lors des épidémies comme la grippe espagnole, la malaria, le typhus et le choléra. Aujourd'hui encore, prouverait-elle son efficacité contre la Covid ?

Depuis ses origines, l’humanité connaît perpétuellement des crises : des incendies, des inondations, des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, des tsunamis… mais aussi des catastrophes humaines, industrielles, nucléaires, militaires, sanitaires, révolutionnaires… Et puis, il y a les épidémies et les pandémies, en croissance constante, qui touchent les végétaux (parasites des arbres, arbustes, céréales, etc.), les animaux (peste porcine, vache folle, grippe aviaire, etc.) et finalement les humains (peste, typhus, choléra, grippe, sida, Ébola, Covid-19, etc.).

Crise : danger ou opportunité cachée ?

En chinois, le mot crise s’écrit avec deux idéogrammes : le premier signifie "danger de mort" et le deuxième "opportunité". On peut donc dire aussi que, dans toute crise, il y a effectivement un danger de mourir avec ou à quelque chose. Mais celles et ceux qui décident d’y voir une opportunité s’accordent une vie meilleure, et c’est précisément là que l’homéopathie peut faire une énorme différence.

La grande différence entre l’allopathie et l’homéopathie, c’est que la première nous coupe des symptômes d’une maladie ou d’un accident pour entretenir la dangereuse illusion que tout va bien, tandis que la deuxième nous aide à saisir l’opportunité de vie qui se cache derrière.

Ces 2 remèdes ont fait reculer la grippe espagnole de 1918 !

La médecine académique préconise des gestes barrières pour empêcher (avec difficulté) la transmission du coronavirus. Elle propose de se désinfecter les mains pour tuer les germes pathogènes et de se faire vacciner pour fabriquer des anticorps contre eux. Or, depuis le début de l’histoire de l'homéopathie, le fondateur Samuel Hahnemann a obtenu des succès sans précédent lors des épidémies de typhus et de choléra. Durant la grippe espagnole de 1918 à 1919, ses successeurs n’ont connu quasiment aucun décès en traitant réellement leurs patients avec deux remèdes : Gelsemium sempervirens 200K pour remettre en mouvement ceux qui étaient paralysés de trac à l’idée de sortir de chez eux et Aconit napellus 200K pour traiter leurs angoisses face à la mort.

Covid et malaria : même génome, même traitement ?

Le coronavirus, originaire de Chine, contiendrait selon le professeur Luc Montagnier une séquence génomique de la malaria qui, en Chine et en Afrique, est traitée avec succès par une plante millénaire : IArtemisia annua. Selon ses utilisateurs, elle traiterait encore mieux la malaria et la Covid que la quinine et ses dérivés comme l'hydroxychloroquine. Aussi, d’autres homéopathes ont décidé d’en faire une pathogénèse sur des sujets sains. Et ils ont vu leurs patients développer tous les symptômes de la Covid avec des tests PCR négatifs !

Les chauves-souris (Chiroptera) sont naturellement capables de vivre en parfaite harmonie avec les différentes souches de coronavirus, sans respect des distanciations sociales ni port du masque dans leurs grottes mal ventilées.

Elles peuvent donc être utilisées comme remèdes en homéopathie shamanique (HoMSHaM). Le remède Atropa belladonna, pour le sujet qui rêve de chauves-souris et peut être de leur immunité exceptionnelle, est également utilisé dans les cas de pneumopathies extrêmes chez certains patients atteints de Covid. Le pangolin (Manis pentadactyla), ce gentil petit animal très contesté, peut aussi être employé en homéopathie.

Oiseaux, araignée : ces remèdes anti-Covid très symboliques !

En homéopathie shamanique (HoMSHaM1), en plus des remèdes (appelés RNS2) qu’on peut administrer aux malades, il est possible d’en offrir aux égrégores créés par la peur collective générée au cours de situations critiques pour en favoriser une issue positive. C’est exactement ce que j’ai fait par rapport aux trois vagues de la Covid-19.

Vacciné ? Atténuez les effets secondaires grâce à l’homéopathie

Des isothérapies de vaccins sont déjà disponibles chez certains pharmaciens spécialisés. Ces traitements sont réalisés à partir des vaccins (Pfizer, Moderna, AstraZeneca, etc.) et administrés en vue d’atténuer les effets secondaires de ces derniers. En Belgique, ils ont été interdits et saisis dans les pharmacies.

Artemisia abrotanum : c’est le remède des laissés-pour-compte, qui ont le sentiment que les patients atteints de Covid ont vampirisé toute l’attention des médias et les lits d’hôpitaux. C’est une catastrophe secondaire. Beaucoup de personnes souffrant de pathologies graves, comme des infarctus du myocarde, des brûlures ou des cancers, ont été considérées trop tard (voire pas du tout !) en raison de la mise en télétravail obligatoire de presque tous les médecins autres que les urgentistes et les infectiologues ;

Arsenicum album : c’est le grand remède des personnes angoissées par la mort, angoisse particulièrement exacerbée par les médias, prescrit pour éviter les hospitalisations psychiatriques ou les suicides. Il est relativement efficace chez les personnes isolées (personnes âgées, célibataires, jeunes déscolarisés, etc.) qui se laissent doucement glisser vers la mort.

Des oiseaux à la rescousse de la première vague

Dans la première vague de Covid-19, le ciel nous est tombé sur la tête ! J’avais testé à l’époque le remède Pélican en dilutions et dynamisations variables. Le pélican est un oiseau qui s’abat du haut du ciel pour plonger dans la mer, surprendre et tuer tous les petits poissons qui se croient protégés. C’est aussi le symbole de celui qui se sacrifie.

Un de mes confrères homéopathes était parti de tous les symptômes de notre société malade : le réchauffement climatique, les gilets jaunes, le terrorisme, etc. Il avait trouvé et prescrit le faucon pèlerin Falco peregrinus 200K, qui s’abat lui aussi pour attaquer les petits rongeurs courant naïvement sur la Terre mère.

Deuxième vague : la veuve noire

Lors de la deuxième vague, à l’automne, j’ai testé la veuve noire, Latrodectus mactans. Alors que tous les gens confinés en télétravail avaient pris l’habitude de communiquer et de s’informer abondamment sur la Toile (d’araignée), parce qu’ils ne faisaient plus confiance aux médias entretenant l’anxiété et l’angoisse de la mort, nous avons vu une énorme censure s’abattre sur Internet3 ! On retrouve alors le comportement de la veuve noire, qui pique à mort son mâle après l’accouplement, pour ensuite enfermer ses petits dans sa toile.

Quand le volcan explose : la troisième vague

Avec la troisième vague, j’ai récemment testé la lave du volcan islandais Hekla, Hekla lava, à doses variables. Alors qu’il couvait en silence sous une couverture immaculée de neige et de glace, il a brutalement explosé et tué toute la vie qui l’environnait. C’est le remède du film de Steven Spielberg Les Dents de la mer(e) ; le volcan de la Terre mère qui s’en prend aux braves petits moutons en train de paître dans les verts pâturages sur ses flancs ou à ses pieds. C’est un remède de rage de dents, complètement cariées par la "rage dedans".

L’obligation du port du masque a été vécue par beaucoup comme une muselière pour faire taire toute contestation face au confinement, au télétravail, à l’interdiction même de travailler pour les artistes, les restaurateurs, les coiffeurs, les employés de l’événementiel, etc. Mais c’est aussi un moyen de censurer les désaccords face aux tests, aux traçages, aux vaccins, à l’interdiction de voyager, de faire la fête… et peut-être face au déploiement des antennes de la 5G.

Nous sommes sur un volcan et nous allons vivre une explosion sociale (une révolution). Oui, le "printemps arabe" pourrait survenir si nos dirigeants et nos experts continuent à manquer de sagesse malgré l’explosion des variants.

Prescription spéciale "crise" : 3 remèdes homéopathiques

De nombreux autres remèdes homéopathiques ont aussi été utilisés avec des succès variables pour traiter les patients à domicile et éviter les hospitalisations inutiles :

  • Calcarea carbonica : extrait de la coquille d’œuf ou d’huître, c’est le principal remède pour ceux qui ont peur de la contagion des épidémies et des pandémies et qui restent enfermés chez eux dans leur coquille sans plus voir personne ;
  • Silicea : c’est le remède pour ceux qui ont peur des piqûres et des corps étrangers (ARNm, virus atténués, aluminium, nanopuces…) qu’on pourrait leur injecter ;
  • Thuya orientalis : arbre de vie, il est prescrit après la vaccination par de nombreux homéopathes pour contrecarrer la dépression post-vaccinale du système immunitaire et sortir du confinement.

Tromperie et manipulation : un manque de protection ?

Une épidémie ou une pandémie, c’est quand une menace plane au-dessus (épi), comme un pélican ou un faucon, d’une partie ou de la totalité {pan) du peuple (démos). Quelle est donc cette épée de Damoclès qui nous tombe dessus par vagues successives ?

Depuis le début de l’ère industrielle et de l’exode rural, une minorité de la population mondiale est entrée dans une surexploitation effrénée et inhumaine des ressources terrestres et des êtres vivants parmi les 8 règnes. Les maltraitances, les mensonges et les manipulations sont omniprésents. Nous allons droit dans le mur !

Et, au vu de tous ces remèdes, nous réalisons que les personnes les plus vulnérables, prédisposées à la Covid, sont justement celles qui ont été maltraitées, trompées, manipulées et qui ont manqué de protection. Le réflexe légitime de repli sur soi (à la fois individuel et national), d’isolement, de distanciation sociale et de vaccination cherche à remédier à ce manque de protection mais engendre d’autres conflits et troubles.

Confinés et malades chroniques : ces 4 remèdes sont pour vous !

Pour aider à sortir tous les prisonniers emmurés chez eux, nous pouvons encore faire appel à des remèdes comme :
Chlorum (le chlore) pour "éclore" dans ces temps de confinement ;
Natrum sulfuricum pour sortir de l’engloutissement dans le matérialisme mondial.
Et, pour les malades chroniques de la Covid qui n’arrivent pas à récupérer, nous pouvons utiliser :
Phosphoric acidum chez les sujets épuisés ou les soignants en burn-out ;
Plutonium nitricum pour redonner de l’énergie «nucléaire» aux las de tout.

Pourtant, médecins et politiques n’ont pas retenu la leçon des généralistes qui, lors de l’épidémie de grippe espagnole, avaient su garder leurs patients sains et en vie ! Leurs conseils étaient simples mais redoutablement efficaces :

  1. sortez marcher tous les jours ou faites une activité physique d’au moins 30 minutes ;
  2. respirez à l’air libre sans masque dès que possible ;
  3. ne coupez pas votre fièvre avec de l’aspirine ou du paracétamol.

Forts de tous ces remèdes, à tester avec une grande prudence et sur les conseils d’un médecin homéopathe, nous pouvons tous sortir grandis, plus sains et plus sages de cette crise planétaire initiatique.

1. Branche de l’homéopathie énergétique créée et développée par l’auteur.

2. Remède, nombre de dilutions-dynamisations, symbole.

3. Il faut ici y voir un lien entre le remède homéopathique de la veuve noire (une espèce d’araignée) et la déperdition totale face à la censure d’Internet ("laToile").

Pour aller plus loin

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