Evidences
Éducation à la Santé : un état de Total Bien-Être

La médecine de demain sera empathique ou ne sera pas !

Lecture d'un diagnostique

Par Eduard Van den Bogaert

Loin d'être une énième thérapie sur la scène médicale, la médecine sensitive coopérative est une invitation à faire collaborer les approches rationnelles et intuitives. Surtout, cette méthode vient réactiver nos capacités d'autoguérison pour nous rappeler que nous sommes chacun acteur de notre santé !

La médecine sensitive coopérative est avant tout active. Son but ? Pousser chacun de nous à mieux se connaître pour agir en faveur de sa guérison. À travers cette approche alternative, découvrons les outils à même de décrypter nos maux, nos malaises, nos maladies, nos accidents, nos conflits, etc. et apprenons à en percevoir le sens et la sagesse, et ainsi à mieux avancer sur notre chemin de vie.

Mieux diagnostiqués… mais à quel prix ?

Depuis plusieurs décennies, on assiste à la réduction progressive du nombre et du recours aux médecins généralistes de famille au profit des médecins spécialistes, qui eux sont assistés d’une technologie de pointe.

Aujourd’hui, les progrès fulgurants de la technologie et de l’informatique ont certes créé des algorithmes qui nous permettent de diagnostiquer de nouvelles maladies et de prescrire mieux que les médecins (ou plutôt, ce que l’industrie pharmaceutique attend d’eux) sans risque de rébellion. La chirurgie génétique est même capable d’ôter de supposés "mauvais gènes" et d’en implanter d’autres - sans respect des barrières naturelles des espèces - pour créer des organismes génétiquement modifiés (OGM) qui deviennent de véritables chimères.

Les associés des lobbies pharmaceutiques, qui exècrent la pensée magique, jouent de plus en plus aux apprentis sorciers, mettant peut-être l’humanité en péril ! Les patients sont ainsi réduits le plus souvent à des organes malades qu’on va traiter techniquement sans états d’âme. La personne et sa sensibilité sont complètement ignorées, ainsi que la relation thérapeutique entre le malade et son soignant, qui reste pourtant essentielle. L’approche cartésienne factuelle et objective des sciences dures déshumanisées s’est totalement coupée de l’approche sensitive et sacrée des sciences du vivant.

L'empathie : effet placebo éprouvé

Face au manque de conscience et d’éthique, il est essentiel de réintégrer en médecine l’empathie tonico-émotionnelle, ce que la médecine sensitive attribue plutôt à la dimension féminine. L’empathie, du grec em (dedans) et pathos (ressenti) signifie ressentir comme si on était "en dedans de l’autre".

L’empathie tonico-émotionnelle consiste à se mettre dans le même rythme, dans le même tonus musculaire, cardiaque et respiratoire que l’autre. L’objectif ? Ressentir par bio-résonance ce que l’autre ressent pour l’aider à mettre des mots sur ses maux indicibles et faciliter sa guérison. C’est une communication intuitive non verbale qui peut s’appliquer à tous les êtres sensibles parmi les 8 règnes du vivant (champignons, végétaux, animaux, humains, etc.). On peut ainsi ressentir, compatir et se réjouir du bonheur des autres, et comprendre la souffrance de ceux qui sont malheureux afin de mieux leur venir en aide.

Les femmes, grâce à leurs capacités innées à communiquer avec l’embryon, le fœtus et le bébé, ont développé une plus grande capacité empathique naturelle que la plupart des hommes endurcis, plus enclins à se battre et à dominer le vivant pour en tirer profit.

L'empathie et la bienveillance peuvent modifier votre génétique !

Le pragmatisme insensible masculin, très utile en cas d’urgence, d’opération ou d’autopsie, peut cependant parfaitement s’allier et s’unir à l’empathie féminine. La féminisation de la profession médicale et la masculinisation de la profession d’infirmière, par exemple, y contribuent (même si, globalement, les infirmières restent plus sensibles que les femmes médecins à la souffrance du patient…). Qu’on le veuille ou non, la violence physique, chimique et psychique des diagnostics, des pronostics et des traitements hospitaliers affecte notre épigénétique et peut générer des effets secondaires nocebo (du latin signifiant « je nuis »).

Inversement, l’empathie, la gentillesse, la bienveillance et surtout l’amour des médecins, des soignants et des accompagnants génèrent de façon épigénétique des effets bénéfiques placebo (du latin signifiant « je plais »). Sciences dures et sciences molles, médecine facultaire et médecines complémentaires sont loin d’être parallèles ou antagonistes ! En revanche, elles doivent impérativement apprendre à coopérer au service de la guérison et du bonheur des patients.

Comme les chamanes, fabriquez votre potion de guérison !

Tous les êtres vivants sensitifs peuvent tomber malades ou être victimes d’accidents, et guérir spontanément de tout ou presque. À ce titre, les plantes sont capables de phyto-pharmacognosie, c’est-à-dire qu’elles ont la capacité sensitive à synthétiser les substances nécessaires à leur survie en cas d’attaque climatique (gel, sécheresse…), parasitaire ou chimique (pesticides…). Les animaux aussi sont capables de zoo-pharmacognosie : ils ont la capacité sensitive de synthétiser ou de trouver les substances qui assureront leur survie et leur guérison grâce aux déjections, aux plantes, aux champignons, aux minéraux et à tous les micro-organismes.

Comment envisagez-vous la mort ? (votre réponse en dit long sur votre santé)

L’effet que produisent les faits sur les patients leur est propre. Il est donc capital que chacun apprenne à bien se connaître afin de mieux communiquer avec les soignants.

Le même événement peut produire une multitude d’effets différents en fonction des ressentis conflictuels des sujets. Ceux-ci varient en fonction du vécu transgénérationnel, périnatal ou biographique (l’histoire personnelle) de chaque personne.

Ce ne sont pas les faits en eux-mêmes qui déclenchent des maladies ou des accidents. Ce sont les ressentis personnels que nous créons et face auxquels notre cerveau déclenche des pathologies pour nous aider à résoudre nos conflits et à évoluer vers une vie plus unifiée. Si nous croyons que la maladie est le problème (au contraire elle serait plutôt là pour nous aider), alors nous avons deux problèmes. Des situations différentes peuvent aussi produire le même effet qui, en cas de ressenti conflictuel, déclenchera la même maladie ou le même accident.

Voici quelques exemples de situations et de vécus associés, et des conséquences qui témoignent à quel point nos interprétations sont susceptibles d’impacter notre état de santé :

  • si on ressent la mort comme une perte conflictuelle, on pourra développer des problèmes rénaux;
  • si on ressent la mort comme un manque, on pourra avoir des problèmes hépatiques;
  • si on ressent la mort comme une séparation, on pourra avoir des problèmes cutanés.

Mais si vous ressentez la mort comme un "nouveau soleil" (cf. le livre La mort est un nouveau soleil du Dr Élisabeth Kübler-Ross), c’est-à-dire sans conflit, alors vous vous donnez toutes les chances de rester en bonne santé.

Les humains ne sont pas en reste : ils disposent aussi de ces capacités de pharmacognosie intérieure et extérieure, qui peuvent être développées. Les chamanes du monde entier, sans technologie occidentale, les utilisent déjà depuis des millénaires pour savoir quels ingrédients "emprunter" à la nature et comment les combiner pour fabriquer leurs potions facilitatrices de guérison. Nous disposons aussi de la capacité infinie, et encore trop ignorée, de synthétiser nos propres remèdes homéopathiques.

Le lobbying pharmaceutique met cependant tout en œuvre pour faire disparaître tout ce qui pourrait nuire à ses intérêts économiques. Ainsi, les minéraux, les plantes et les champignons, qui augmentent la conscience, l’amour et l’unité (ayahuasca, cannabis médical…) et qui nous aident dans les épidémies (quinine, Artemisia annua, Aloe vera…), mais aussi l’homéopathie, l’aromathérapie… sont de plus en plus restreints ou interdits.

Notre nourriture - notre premier médicament selon Hippocrate - est même devenue de nos jours empoisonnée par les industriels. La viande des grandes surfaces provient d’animaux maltraités dans des élevages concentrationnaires et les légumes sortent de monocultures intensives. Nous sommes cependant des êtres humains sensibles et, même si nous sommes quelque part anesthésiés, nous ne pouvons pas rester impassibles face à la souffrance des êtres vivants grâce auxquels la majorité d’entre nous se nourrit.

La guérison est en vous ! (il suffit d'ouvrir les yeux)

La médecine sensitive coopérative commence donc en nous. Elle naît dans la relation d’amour, d’unité et de gratitude vis-à-vis de nous-mêmes et de toutes les créatures sacrées avec lesquelles nous cohabitons temporairement sur cette Terre.

La guérison réside d’abord en nous ; elle est gratuite et facile d’accès quand on en prend conscience. Il est donc impératif de nous libérer de la dangereuse illusion que notre salut et notre santé ne peuvent venir que de l’extérieur et de l’autre, bien qu’ils puissent certes constituer de précieux alliés.

Tout comme nous sommes responsables des maladies et des accidents que nous créons (pour rappel, avec le but de nous libérer de situations invivables et insupportables), nous pouvons tout autant devenir responsables de notre guérison. Nous sommes puissants au-delà de tout ce qui est imaginable, même si on veut nous faire croire le contraire.

Ainsi, la médecine sensitive coopérative est une éducation à part entière, dont l’intention est de nous aider à transmuter nos difficultés. En mobilisant toutes nos facultés, il est possible d’activer la puissance de notre guérison spontanée.

Quelle sagesse derrière la souffrance ? (4 clés pour lire entre les larmes)

En dépit des difficultés et de la douleur que peut engendrer une maladie, chacun peut reprendre sa vie en main pour retrouver sa souveraineté et son autonomie en matière de santé :

  1. en œuvrant sur notre arbre généalogique, nous pouvons sortir du déterminisme lié au vécu de nos ancêtres ;
  2. en œuvrant sur notre périnatalité, nous pouvons réaliser que ce qui a affecté nos parents durant cette période de 36 mois a aussi activé nos dons. Dons qu’il faudra apprendre à maîtriser ;
  3. en rédigeant notre biographie, nous pouvons découvrir le fil conducteur de notre vie et de notre mission d’âme ;
  4. enfin, en comprenant que tout est bien fait, nous pouvons tirer profit de nos maladies et accidents pour réenchanter notre monde.

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