Evidences
Éducation à la Santé : un état de Total Bien-Être

Viroses et vies pas roses

Les viroses ou infections des êtres vivants par des virus sont de plus en plus fréquemment au devant de l'actualité. Une lecture attentive suivie ou rétrospective de cette actualité, tant dans les médias tous publics que spécialisés, laisse entrevoir des choses volontairement ou involontairement occultées.

Des citoyens de plus en plus nombreux se posent des questions sur l'exactitude des informations répandues à coup de grands renforts médiatiques. S'agit-il encore véritablement d'information ou plutôt d'intoxication des populations mondiales ?

Une tendance certaine au catastrophisme, à l'alarmisme et au sur protectionnisme se dessine au fil des "épidémies" et "pandémies" successives depuis la grippe espagnole de l'après première guerre mondiale. Une première réalité se dégage des faits : les funestes prévisions épidémiologiques ne se sont jamais vérifiées à ce jour et le nombre de cas a été surestimé.

Nos dirigeants ont certes un pouvoir de précaution consistant à mettre tout ne œuvre pour prévenir le déclenchement ou le développement d'une épidémie. Le recours à la vaccination la plus généralisée possible des populations pour les protéger est présenté comme la panacée universelle.

Les mondes pharmaceutique, scientifique, médical et politique s'avèrent peu enclins à la remise en question de ce qui tient plus des "dogmes" que d'une évidence prouvée par des investigations rigoureuses, honnêtes et dépourvues d'intérêts commerciaux et politiques.

L'histoire de la vaccination est émaillée de nombreuses irrégularités qui jettent de sérieux doutes sur l'efficacité vantée à coup de publicité, et sur l'innocuité à court et long terme.

Les modes de préparations sur des cellules embryonnaires ou tumorales infectées, manipulées génétiquement, nourries par liquides contaminés, traitées par des processus physico-chimiques et enfin adjuvantées par des toxiques (aluminium, mercure, squalène, …) pour en accroître l'impact sur le système immunitaire, souvent de nourrisson, ont de quoi susciter inquiétudes et réflexions.

Les enjeux financiers et politiques qui sous-tendent ces pratiques médiatiques et médicales sont tellement colossaux qu'ils échappent aisément aux citoyens et même à leurs médecins ou leurs élus.

Je ne remets nullement en question la bonne volonté et l'intention sincère de beaucoup de confrères et de politiciens à vouloir protéger les populations, mais souvent ignorants par peur inconsciente de devoir remettre en question leur pratique, ou par manque de temps pour s'informer plus profondément.

Au vu et au lu de la pointe visible de l'iceberg, j'ai des doutes plus sérieux sur la probité des groupements industriels pharmaceutiques agro-alimentaires, pétroliers, atomiques, de l'armement,…

Contrairement aux citoyens qui n'ont pu, sauf en Hollande et en Allemagne, obtenir de leurs élus la création de commission d'enquête parlementaire sur les irrégularités de la gestion de la grippe, l'industrie pharmaceutique s'est donnée les moyens colossaux pour tirer stratégiquement les leçons des dernières campagnes vaccinales contre les virus du cancer du col de l'utérus et la grippe A/H1N1 qui n'ont pas assez répondu à leurs attentes financières auprès des populations. Ces dernières pensent avoir échappé au danger viral annoncé ou à une éventuelle obligation vaccinale.

Il est de la liberté de chacun de recourir ou non aux vaccinations ou de se poser des questions, et envisager les maladies, la prévention et la thérapeutique autrement.

Toute action a immanquablement des conséquences positives e/ou négatives. Décider d'agir d'une manière ou d'une autre engage donc notre responsabilité.

Il ne convient pas de juger mais de déterminer ce qui est le plus juste pour les populations et les individus;

Il serait malheureux d'opposer, comme c'est souvent le cas, des pratiques allopathiques variablement démontrées et des pratiques complémentaires empiriques peu ou pas démontrées.

Les gouvernants savent que pour maintenir une paix sociale, il est nécessaire de donner à la population l'illusion dangereuse de protection et de sécurité tant physique, alimentaire que médicale.

Les industriels savent, quant à eux, que pour accroître leurs bénéfices, ils doivent pousser à la surconsommation en créant de faux besoins sociaux et médicaux par l'envie ou la peur comme dans le cas des viroses qui peuvent conduire les populations démunies au vol ou la paranoïa collective, comme dans le cas de la grippe A/H1N1.

Le bon sens populaire, la vigilance et l'honnêteté feraient bien de nuancer les avis d'experts souvent trop affirmatifs, peut-être en raison de leurs conflits d'intérêts avec le monde industriel.

Force est de constater que les dernières épidémies virales chez les humains comme chez les animaux ne sont peut-être pas le fruit du hasard, mais peut-être bien la conséquence de maltraitance pathogène préalable des populations infectées.

Il est frappant de constater que tous les humains et animaux (porcs, volailles, …) affectés par les grippes présentent en commun la sur-vie forcée en univers concentrationnaires (villes, crèches, écoles, hôpitaux, institutions psychiatriques ou pour personnes handicapées, casernes, prisons, maisons de retraite, batteries d'élevage, …) privant de liberté de mouvement (muscles) et de vivre (respirer) à l'air libre (bronches). Ce mode de vie stressant engendre une baisse d'immunité, des lésions musculaires et de la muqueuse bronchique.

La réparation de ces lésions par des virus grippaux provoque myalgies (douleurs dans les muscles) et toux bronchique parfois compliquées de pneumopathie de réparation des lésions pulmonaires liées à la peur de ne plus pouvoir vivre, c'est-à-dire mourir.

Il pourrait bien en être de même avec les adolescentes et leurs mères pré ménopausées qui traversent pour la plupart en commun une crise hormonale sexuelle de la puberté ou de la quarantaine, liée au papillonnage de leur partenaire et donc à la perte ou la réduction de contact de leur col utérin avec le gland de celui-ci.

Là aussi, un suivi et une prévention efficace rendraient l'utilisation du vaccin inutile et beaucoup moins coûteuse à la population.

Il ne faut pas perdre de vue que les remboursements que nous obtenons d'un côté nous sont prélevés d'un autre par nos cotisations sociales, sans nous concerter sur la pertinence de cet usage de notre contribution financière.

Il est demandé aux citoyens responsables qui prennent soin de leur santé de travailler pour financer les maladies d'autres citoyens qui ne prennent pas soin de leur santé et comptent sur leurs dirigeants, leurs médecins pour pallier à leurs manquements.

Je plaide depuis toujours pour une médecine de personnes responsables, conscientes.

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