Evidences
Éducation à la Santé : un état de Total Bien-Être

Cannabis : un stupéfiant remède homéo qui réconcilie en temps de crise

Canabis et homéopathie

Les recherches médicales sur la dangerosité du cannabis, bien que leurs conclusions soient toujours controversées au XXIe siècle, ont conduit jadis à son inscription comme drogue douce (c’est-à-dire ne provoquant pas d’overdose) à la convention unique sur les stupéfiants de 1961. Malgré cela, la plante du genre Cannabis est curieusement de plus en plus consommée dans le monde. Elle est surtout produite au Maroc et en Mongolie. Avant son interdiction, le cannabis était cultivé dans de nombreuses fermes tant pour ses usages médicinaux que pour la confection de vêtements, d’isolants, etc., et ce, depuis le néolithique.

Cannabis : son rôle capital dans l'homéostasie

Le système endocannabinoïde (SEC) est un système physiologique qui a pour rôle de maintenir l’état d’homéostasie, c’est-à-dire les différents équilibres au sein du corps et notamment la plasticité neuronale, le contrôle des émotions et de l’appétit, les capacités d’apprentissage, les niveaux d’inflammation, etc. Il comprend des récepteurs cellulaires aux cannabinoïdes spécialisés répartis à de nombreux endroits de notre corps. Leurs ligands (les endocannabinoïdes) sont naturellement synthétisés par notre corps pour assurer la symphonie des 12 autres systèmes (Il s’agit des systèmes digestif, urinaire, respiratoire, reproducteur, protecteur, sanguin, cardiovasculaire, locomoteur, nerveux, endocrinien, immunitaire et tégumentaire.). Le SEC existe chez tous les vertébrés, des mammifères aux oiseaux, ce qui évoque sa mise en place très précoce, il y a 600 millions d’années, dans l’histoire de l’évolution.

Il existe deux sortes de récepteurs aux cannabinoïdes : les CB1 et les CB2. Les récepteurs CB1 se situent plus au niveau du système nerveux central et périphérique, tandis que les récepteurs CB2 se trouvent de manière prédominante dans les tissus immunitaires. Le système endocannabinoïde est présent dès le tout début de notre conception. En effet, l’endomètre (couche interne de l'utérus) contient des récepteurs permettant d’accueillir les cannabinoïdes secrétés par l’embryon pour établir le lien entre la mère et son futur enfant. Sachant que nos conflits en tous genres activent via les circuits du stress nos systèmes nerveux et immunitaire, on peut comprendre l’importance des endocannabinoïdes et de leurs modulations homéopathiques.

Les endocannabinoïdes suscitent un sentiment de créativité, de solidarité et d’humour, recouvrant une autre loi prédominante dans la nature : celle de l’entraide. Ils favorisent la neuroplasticité et la gestion des émotions, en plus d’éveiller nos capacités cognitives au quotidien. Si la consommation de tétra-hydro-cannabinol (THC) reste strictement interdite en France, le cannabidiol (CBD), un autre composé issu de la plante ne possédant pas d’action psychotrope, est de plus en plus retrouvé en vente libre.

Douleurs, insomnies, dépendance… une molécule à large spectre !

Le cannabis est le plus couramment utilisé pour gérer les douleurs, les nausées et les vomissements, les diarrhées, l’anorexie et la cachexie chez les patients cancéreux sous chimiothérapie, avec un possible effet anti-cancer. Mais il possède d’autres vertus, moins connues, qui s’étendent aux affections comme les spasmes, les troubles du mouvement, l’épilepsie, les états de dépendance ou de manque, le glaucome, l’asthme, les inflammations, les insomnies, les maladies auto-immunes et certains désordres psychiatriques. De nombreuses études sont en cours pour déterminer la manière dont le THC et le CBD agissent sur le système endocannabinoïde.

3 traitements homéopathiques à base de cannabis

Les homéopathes ont vite compris que tout ce qui pouvait altérer notre état physique, énergétique (notre force vitale), émotionnel, onirique (nos rêves), mental (notre conscience) ou spirituel pouvait aussi le rééquilibrer. Ainsi, trois remèdes issus du cannabis sont utilisés en homéopathie : Cannabis sativa, Cannabis indica et Apocynum cannabinum.

Dans un article précédent (voir : Et si la maladie était une alerte bienveillante ?), j’avais évoqué la catharsis qu'Apocynum cannabinum avait provoquée chez la mère asymptomatique d’une jeune femme en phase terminale d’un cancer du péritoine. La nuit suivant la prise du remède homéopathique, la mère put se souvenir d’un avortement qu’elle avait totalement occulté avant son mariage et sa deuxième maternité. Il est en effet fréquent que les conflits occultés généalogique ou gardés secrets par les parents soient révélés ou pointés du doigt par des somatisations chez leurs enfants.

Qui est la personne "Cannabis" ?

Canabis et homéopathie

Dans le répertoire homéopathique, les symptômes psychiques du profil Cannabis sont curieux, avec notamment l’impression d’être surhumain et de posséder des « superpouvoirs ».

En contrepartie, la consommation pondérale et sans conscience de la plante psychotrope pour (re)créer du lien social peut abaisser les capacités cognitives, mais pas irréversiblement, comme le prétendent certaines opinions. Car, rappelez-vous, en homéopathie, ce qui abrutit ou peut engendrer une psychose peut aussi aider à reprendre conscience de la "force divine" qui nous habite. C’est donc un remède particulièrement important en ces temps de vaccination mondiale obligatoire et déguisée qui oppose les vaccinés aux non-vaccinés, les contestataires des mesures liberticides aux forces de l’ordre, la distanciation sociale à l’amour et à la foi. C’est aussi un remède pour aider ceux qui, après le Covid ou le vaccin, ont l’impression d’avoir perdu le lien à leur âme et sont tombés dans une forme de psychose ou de dépression, sans force ni motivation.

L’histoire de l’humanité nous a suffisamment montré comment certains dirigeants pouvaient terroriser et diviser les nations pour mieux les diriger.

Le cannabis, que beaucoup utilisent le soir pour relâcher la pression infernale imposée par la société, peut en homéopathie traiter les anxiétés et les angoisses, en particulier la peur de tomber malade et de mourir.

En cette période difficile, gardons notre esprit critique sur ce "vaccin" supposé nous protéger d’un agent pathogène, et sur ces médecines naturelles interdites car prétendument dangereuses mais qui, en cas d’usage approprié, peuvent réveiller les consciences pour créer un monde plus juste, aimant, lumineux et uni où il fait bon vivre.

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